 |
Qui
sommes-nous ? |
gauche
alternative quetigny, collectif citoyen, association dém  iemilitantes
militants politiques progressistes |
| Collectif citoyen, la Gauche Alternative regroupe des personnes sans appartenance politique, des membres et animat·eur·rice·s d'associations, des militant·e·s politiques progressistes. Elle
a obtenu aux municipales de 2014 11% des suffrages au premier tour,
et 1 seul élu sur 27, soit 3,7 % des élus avec 9%
des voix au second tour : il y a encore des progrès à
faire dans la représentation des citoyens !
|
|
 |
Pour
quoi faire ? |
|
Nous élaborons — et agissons pour mettre en pratique — des propositions en faveur de la fraternité et de la cohésion des Quetignois. Nous souhaitons le développement de l'État et des services publics sur tous les territoires, le renforcement de la vie associative, le maintien et la création d'emplois utiles, une politique de logements à la fois bien équipés et assurant une vraie transition écologique. Nous luttons au quotidien contre les fractures liées à l'origine, au genre, à l'âge, au handicap, aux déterminismes sociaux... Nous
voulons bien sûr préserver ce qui a fait de Quetigny une
ville agréable à vivre, renouant avec la politique "Un
logement, un emploi, un arbre" initiée dans notre commune
dès les années soixante par Roger Rémond et poursuivie
par Hervé Vouillot ; nous apprécions l'originalité
de son modèle de développement et la richesse de ses activités
culturelles et associatives. Nous
organisons des enquêtes (en "doublettes") auprès
de la population pour connaître ses avis sur la vie quotidienne,
sur la situation économique et sociale, sur les loisirs et les
activités culturelles, sur le devenir des réseaux, des
bâtiments, des quartiers, de la commune... |
|
|
Nous
agissons pour la transparence, et pour une démocratie active qui
permette à chaque citoyen de participer aux décisions qui
le concernent : nous avons lutté contre le PLU de 2006 qui
envisageait de créer 1 300 logements à l'horizon 2025
(celui de 2015, moins déraisonnable, en prévoit 300 à
400) ; nous avons critiqué les pseudo-enquêtes (en fait
de coûteuses opérations de "com") organisées
par la municipalité sur le Cœur de Ville. Nous
avons soutenu les travailleu·r·se·s des entreprises
en difficulté, comme lors des sept semaines de conflit chez
Sanofi fin 2014. Dès 2015, nous nous sommes prononcés
en faveur de l'accueil de réfugiés à Quetigny. Nous déplorons la recentralisation en cours (fiscale en particulier) menée par le gouvernement, la suppression des emplois aidés (qui pouvaient être l'antichambre d'emplois durables et jouaient un rôle social majeur), la mainmise croissante de la Métropole dijonnaise sur le budget, la politique, la vie quotidienne dans notre commune, et nous nous prononçons en faveur d'un fonctionnement plus démocratique du Conseil Municipal, trop souvent transformé par l'actuelle majorité en chambre d'enregistrement de décisions prises en petit comité. Nous souhaitons aussi porter ces idées dans l'éducation, la culture, la solidarité internationale... |
Enfin,
nous constatons avec tristesse et colère l'aggravation de la crise
économique, sociale, morale et politique qui a suivi le désastre
financier de 2008, imputable aux seuls excès d'un capitalisme tout-puissant ;
cette crise a provoqué de graves tensions, conduit paradoxalement
à un durcissement des politiques néo-libérales, et
entraîné de dangereux replis identitaires et nationalistes,
en particulier en Europe. Ses principales victimes sont, dix ans après,
les plus pauvres, surtout dans les pays les plus pauvres. |
